L’apiculture n’a jamais été aussi populaire que de nos jours. Et ce n’est pas un hasard, car nous sommes nombreux à souhaiter nous rapprocher de la nature et agir pour préserver la biodiversité. Ainsi, des milliers de personnes débutent chaque année l’élevage des abeilles mellifères. Mais beaucoup auront des déceptions. Car l’élevage d’Apis mellifera demande des connaissances et la maîtrise de techniques.
Afin d’éviter les erreurs, nous donnerons 5 conseils pour vous aider à bien débuter en apiculture. Ces recommandations s’adressent aux néophytes et aux débutants qui souhaitent pratiquer une apiculture en phase avec la nature. Mais elles sont aussi valable pour ceux qui souhaitent en faire leur métier. Quel que soit votre projet, nous vous souhaitons une bonne lecture.
Table des matières
Qu’est ce que l’apiculture ?
L’apiculture existe depuis plus de 3500 ans. Depuis ses origines, elle consiste à élever des abeilles pour profiter des produits de la ruche, tels que le miel, la cire, la gelée royale, la propolis et parfois même le venin d’abeilles.
Certains apiculteurs en font leur profession et s’occupent de plusieurs centaines de ruches. Mais en Europe, la plupart des apiculteurs sont des amateurs qui gardent chez eux – ou sur un terrain qui leur est prêté – moins d’une dizaine de ruches. Actuellement, plus de 70000 personnes ont déclaré pratiquer l’apiculture en France. Et dans le monde, ils seraient plus de six millions à garder 50 millions de ruches.
Mais attention aux généralités ! Car il existe de nombreux types d’apiculture. Les pratiques vont de l’apiculture de production à l’apiculture naturelle. Bien entendu, l’impact sur les abeilles et l’environnement changeront d’un apiculteur à un autre.
L’apiculture est-elle profitable pour l’environnement ?
Bien souvent, les apiculteurs sont présentés comme les ambassadeurs de l’environnement. Car ils alertent – depuis des dizaines d’années – l’opinion publique sur l’usage des pesticides en agriculture. Mais tous n’ont pourtant pas des pratiques écologiques. Certaines pratiques sont tournées vers la production et la rentabilité et d’autres sont centrées vers l’abeille et ses besoins.
Avant de présenter nos 5 conseils pour bien débuter en apiculture, il nous semble intéressant de parler de l’utilité de l’apiculture. Car beaucoup de néophytes souhaitent devenir apiculteurs pour aider ou sauver les abeilles et la biodiversité. Mais beaucoup contribuent par leurs erreurs contribuent involontairement et sans le savoir à dégrader l’environnement.
La pollinisation des fleurs par les abeilles
Les abeilles mellifères visitent les fleurs de 70% des plantes herbacées, des arbustes et des arbres répertoriés dans nos régions tempérées. Elles sont importantes pour les écosystèmes, car elles contribuent à la reproduction de nombreuses espèces végétales. Sans cette pollinisation, les forêts et les prairies seraient très différentes.
Les abeilles mellifères sont aussi très actives sur de nombreuses cultures et plus particulièrement sur les vergers, les champs de colza ou de tournesol. Leur présence permet de maintenir de forts rendements. Lorsque leur nombre vient à diminuer, les rendements baissent et le prix des primeurs augmente pour les consommateurs. C’est pour cette raison que les agriculteurs louent parfois des ruches.
Enfin, on retrouve les abeilles en grand nombre sur les fleurs cultivées dans les jardins et sur les balcons. Et elles participent à la pollinisation des plantes du potager. Le jardinier se doit donc de les épargner en limitant l’usage des insecticides.
Concurrence entre les pollinisateurs
Mais lorsque les abeilles sont trop nombreuses dans le milieu, elles peuvent concurrencer trop fortement d’autres insectes pollinisateurs. C’est par exemple le cas dans les villes où le nombre des colonies est tellement important que beaucoup de papillons et d’abeilles solitaires disparaissent des parcs et des jardins.
Ainsi, installer un grand nombre de ruches dans un milieu aux ressources insuffisantes peut causer des dégâts pour la nature.
Nos 5 conseils pour réussir en apiculture de loisir
Les 5 conseils qui vont suivre viennent au secours des futurs apiculteurs et des apiculteurs débutants. Car de petites erreurs sont souvent à l’origine des premiers échecs et de l’abandon précoce de l’apiculture. En les observant, vous mettez toutes les chances de votre côté. Et vous serez assuré de passer de bons moments avec vos abeilles.
Formez-vous avant d’installer vos premières ruches
Ce conseil est probablement le plus important. Bien qu’aucun permis ou diplôme ne soit nécessaire pour créer un rucher, vous devez vous former pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens. Car les abeilles sont des insectes potentiellement dangereux.
Lorsque vous serez apiculteur, vous deviendrez responsable de la nuisance que pourraient causer vos insectes. Vous avez tout intérêt à connaître leur comportement et à maîtriser les techniques pour ouvrir une ruche en sécurité.
Les fondamentaux de l’apiculture peuvent s’acquérir auprès d’un rucher école ou en faisant un stage chez un apiculteur professionnel. Vous y apprendrez à allumer un enfumoir et à manipuler les cadres d’une ruche. Vous saurez aussi comment traiter vos colonies en cas de maladie.
Pour poursuivre votre apprentissage, vous devez consulter des ouvrages de référence ou pourquoi pas consulter des vidéos sur YouTube. De nombreuses chaînes sont spécialisées dans l’apiculture. Certaines permettent de découvrir les contraintes de l’apiculture de production. C’est le cas d’Une Saison aux Abeilles (USaA). D’autres sont plus tournées vers l’apiculture de loisir, comme Apiculture IDLWT.
Il existe aussi des formations à distance pour acquérir le volet théorique de l’apiculture. Suivre une telle formation permet de prendre de l’avance sur les enseignements dispensés par les ruchers écoles. On peut alors s’instruire sur la biologie et l’écologie des abeilles, lorsqu’on dispose de temps libre.
Parmi les différentes formations à distance proposées en français, le cursus Apiculture et monde des abeilles offre la possibilité d’aborder tous les aspects de l’apiculture de loisir, au travers de plusieurs modules thématiques et en suivant des visioconférences en direct. Pour en savoir davantage, consultez le site https://apiculture.idlwt.com
Une formation théorique de qualité vous expliquera dans les détails les neuf conseils qui vont suivre. Vous serez alors prêt à vous lancer dans l’apiculture de loisir.
Toutefois, si vous souhaitez en faire votre métier ou générer des revenus complémentaires, il convient de vous former à la gestion d’une exploitation apicole. Rien de mieux que de rejoindre un CFPPA et préparer un Brevet Professionnel REA option apiculture. Il existe aussi des formations plus courtes pour ceux qui disposent de moins de temps pour se former.
Trouver un bon endroit pour installer vos ruches
Les apiculteurs regroupent leurs ruches en groupe. Chaque groupe est nommé un rucher.
L’installation d’un rucher doit être mûrement réfléchie. Celui-ci ne doit pas causer de nuisance aux riverains et être bien positionné pour assurer le confort et la santé des abeilles. Si vous prévoyez de produire une grande quantité de miel, il faudra installer votre rucher à proximité des plantes nectarifères. Et parfois déplacer les ruches d’un endroit à un autre durant l’année. On parle alors de transhumance.
En France, la législation permet d’installer des ruches pratiquement n’importe où. Les seules obligations sont de respecter des distances minimales entre les ruches et les propriétés voisines. Ou bien de positionner une haie, une palissade ou un mur d’au moins deux mètres de hauteur entre votre rucher et le voisinage.
Cette deuxième option précisée par le Code Rural permet à des apiculteurs de placer des ruches sur leur balcon ou sur le toit de leur immeuble. Ainsi à Paris, pas moins de 2000 ruches se partagent les 100 kilomètres carrés de la capitale. Mais cette situation n’est pas idéale et les ruches doivent être approvisionnées en sucres pour survivre.
Les colonies d’abeilles ont besoin d’un endroit ensoleillé et abrité des vents froids en hiver. Il faut donc disposer d’un tel endroit. Si votre jardin est mal exposé, vous pouvez toujours adhérer à une association d’apiculteurs. La plupart des associations proposent à leurs adhérents des emplacements sur leurs ruchers partagés.
Choisissez un modèle de ruche répandu
Maintenant que vous avez trouvé un bon emplacement pour votre rucher, vous devez décider du modèle de vos futures ruches.
Les modèles portent souvent le nom de leur inventeur. En France, la plupart des apiculteurs amateurs et des apiculteurs professionnels élèvent leurs abeilles dans des ruches Dadant. La vidéo suivante présente ce modèle et les différents éléments qui constituent une ruche.
Mais il existe aussi des usages régionaux. En Corse, les apiculteurs utilisent pour la plupart la ruche Langstroth. En Alsace, on retrouve aussi la ruche alsacienne et la ruche Voirnot. Les adeptes de l’apiculture naturelle emploient généralement la ruche Warré ou la ruche-tronc. Cette dernière est la ruche ancestrale du sud de la France.
Il existe bien d’autres modèles de ruche, en fonction des régions et des pays. Mais nous vous conseillons de débuter avec un modèle que vous trouverez facilement dans les magasins et vendeurs de fournitures apicoles. Vous profiterez alors d’un approvisionnement constant et de prix intéressants. Il est préférable de n’avoir qu’un seul modèle de ruche sur votre rucher. Ainsi, vous pouvez utiliser le même format de cadres pour toutes vos ruches.
Il est préférable de débuter l’apiculture par au moins deux ruches. Ceci permet de limiter les échecs, car les pertes hivernales ne sont pas rares. Surtout chez les débutants qui évaluent encore mal l’état de santé de leurs colonies. Trois à cinq ruches permettent d’être autonome et de récolter suffisamment de miel pour soi et sa famille.
Adoptez des abeilles rustiques
À présent, vous devez enrucher vos ruches. Il faut donc choisir vos abeilles. Et ce choix est très important. Avant d’aller plus loin, présentons brièvement la diversité au sein de l’espèce Apis mellifera.
L’abeille mellifère se retrouve naturellement en Europe, en Asie Mineure et en Afrique. Elle a été introduite à partir du Moyen-Âge dans d’autres régions du monde. De nos jours, elle se retrouve partout où le climat et la végétation permettent sa survie. Depuis le Canada, jusqu’aux îles d’Océanie.
On retrouve des abeilles des jungles tropicales aux forêts du grand nord. Naturellement, de nombreux types d’abeilles ont évolué pour s’adapter à ces environnements changeants. On retrouve plusieurs dizaines de sous-espèces, d’innombrables écotypes et depuis que l’Homme pratique l’apiculture de nombreuses races et hybrides.
L’abeille noire
L’abeille noire est la sous-espèce que l’on retrouve naturellement en France et plus largement des Pyrénées jusqu’à l’Oural, en contournant les Alpes par le nord. Connue des spécialistes sous le nom scientifique d’Apis mellifera mellifera, elle est bien adaptée aux hivers froids et longs. Elle est aussi parfaitement adaptée à la végétation de nos régions tempérées.
Les scientifiques s’accordent sur l’existence de nombreux écotypes d’abeilles noires. Chaque écotype étant le fruit d’un long processus d’évolution et parfois d’isolement par rapport aux populations voisines. L’un de ces écotypes est présent en Corse et nulle part ailleurs. Un autre est présent en Bretagne et un autre dans les vallées alpines.
Malheureusement, l’abeille noire est menacée par l’introduction de nombreuses sous-espèces d’abeilles. Le métissage est à l’origine de la perte des caractéristiques d’Apis mellifera mellifera. Moins adaptées à son environnement, les abeilles métisses sont moins performantes et beaucoup de ces colonies disparaissent, car elles sont incapables de survivre aux maladies ou aux hivers longs et froids.
Toutefois, des apiculteurs passionnés travaillent à la protection de l’abeille noire. On retrouve en France et en Belgique plusieurs conservatoires qui assurent la conservation de cette sous-espèce et sa réintroduction en apiculture de production. C’est une démarche qui va dans le sens de l’élevage éthique et qui rassemble de plus en plus de sympathisants.
Si vous souhaitez protéger les abeilles et que vous vivez en France ou en Belgique, vous devez élever l’abeille noire et aucune autre sous-espèce.
L’avenir de l’abeille noire repose en grande partie sur les apiculteurs amateurs. Car ces derniers sont suffisamment nombreux pour la maintenir dans l’environnement. Toutefois, la pratique de l’apiculture avec cette abeille est parfois inconfortable. Car certaines lignées sont agressives et peuvent intimider les débutants. Mais quelques éleveurs proposent des lignées plus dociles.
L’abeille locale
Les abeilles locales sont les lignées que l’on récupère généralement auprès des apiculteurs amateurs ou lorsqu’on trouve un essaim sauvage. Il s’agit de métisses des différentes sous-espèces et races élevées dans une région. La sélection naturelle faisant son œuvre, les caractéristiques se rapprochent de l’abeille noire.
On retrouve une grande diversité de caractères chez les abeilles locales. Ainsi, il est impossible de prévoir le comportement au sein du rucher ou leur productivité. On peut aussi avoir des mésaventures, lorsqu’une colonie se montre particulièrement agressive. Mieux vaut alors procéder au changement de leur unique reine. Les apiculteurs parlent d’un remérage. La reine sera alors remplacée par une nouvelle que vous pourrez acquérir chez un éleveur spécialisé.
L’abeille Buckfast
L’abeille Buckfast est une race créée au début du XXème siècle à l’abbaye de Buckfast en Angleterre. Son créateur – le frère Adam – l’a obtenu à partir de croisements entre des reines d’abeilles italiennes (Apis mellifera ligustica) et des mâles d’abeilles noires anglaises.
Ces croisements ont été motivés pour obtenir des abeilles résistantes à une maladie qui faisait des ravages à cette époque, l’acariose. Par la suite, l’abeille Buckfast a été enrichie par d’autres croisements. Frère Adam a voyagé dans de nombreux pays pour récupérer des abeilles performantes. Son but était de proposer aux apiculteurs professionnels une abeille qui présente de nombreuses qualités.
Des races comme l’abeille Buckfast sont largement appréciées. Il s’agit d’abeilles productives et au caractère doux. Peu défensives, ces abeilles sont aussi adoptées par les apiculteurs amateurs et de ceux qui pratiquent l’apiculture urbaine. Elles piquent rarement, mais la prudence reste toujours de mise, lorsqu’on ouvre leurs ruches. Quelle que soit le type d’abeilles, il faut toujours utiliser un enfumoir et revêtir une combinaison pour sa sécurité.
L’abeille Buckfast demande une bonne connaissance du fonctionnement d’une colonie. Moins adaptée aux conditions naturelles, il faut surveiller de près l’état de santé des abeilles. L’apiculteur devra souvent donner un supplément alimentaire avant l’hiver – on parle de nourrissement – pour sauver ses abeilles de la famine.
Luttez contre les ravageurs
Pratiquer l’apiculture est beaucoup plus difficile de nos jours que par le passé. En effet, jusqu’au début des années 80, les abeilles n’avaient pas affaire à des parasites et à des prédateurs exotiques. Mais les échanges internationaux sont à l’origine d’introductions involontaires de ravageurs inconnus pour Apis mellifera.
Les ravageurs introduits qui posent le plus de problèmes aux abeilles sont le varroa et le frelon asiatique. Mais prochainement, les apiculteurs du sud-est de la France pourraient être confrontés aussi au petit coléoptère des ruches.
Bien entendu, l’État et les organisations professionnelles s’impliquent dans l’étude de ces périls et mettent en place des actions collectives pour lutter efficacement. Pour en savoir davantage, consultez la page suivante https://www.gdsfrance.org/apiculture/
Le varroa
Le varroa est un acarien qui parasite les abeilles et leurs larves. Originaires d’Asie, les varroas sont arrivés en France en 1982. Très vite, ils ont causé la perte de milliers de colonies d’abeilles. Ce minuscule acarien porte bien son nom scientifique de Varroa destructor. Leur invasion a poussé de nombreux apiculteurs à arrêter leur activité. Et seuls ceux qui ont mis en place des traitements ont pu poursuivre l’apiculture.
Si vous souhaitez garder des ruches, vous devez lutter contre les varroas. Beaucoup de choses sont à savoir, notamment sur les matières actives à employer et sur la fréquence des traitements. Mais vous serez informé de tous ces détails en suivant une formation en rucher école ou à distance.
Le frelon asiatique
Le frelon asiatique s’est implanté en France à partir de 2004. Nommé par les scientifiques Vespa velutina, cet insecte chinois a d’abord colonisé le sud-ouest de l’hexagone, puis l’ensemble du pays, à l’exception de la Corse. Le frelon asiatique ne connaît pas de frontière. Il est maintenant présent dans la plupart des pays de l’ouest de l’Europe. Il s’est même naturalisé dans le sud de l’Angleterre.
Le frelon asiatique est un important prédateur des abeilles. Dans les zones urbanisées, plus de 60% de ses proies sont des abeilles mellifères. Et chaque année, un nid de frelons consomme plusieurs kilogrammes d’abeilles et d’autres insectes. Dans certaines régions, la prédation est suffisamment forte pour détruire les colonies. L’apiculteur doit alors mettre en place des pièges pour capturer ces insectes prédateurs et protéger les ruches avec des dispositifs nommés muselières.
Le frelon asiatique est aussi un insecte potentiellement dangereux. Il faut être prudent et ne pas essayer de détruire un nid soi-même. Il s’agit d’un travail de professionnel et le port d’une combinaison adaptée est nécessaire. Sachez qu’une combinaison d’apiculteur ne protège pas contre les dards de Vespa velutina.
Si vous repérez un nid à proximité de votre rucher, il faut impérativement le faire détruire. Renseignez-vous au service environnement de votre commune. Car certaines municipalités prennent en charge le coût de la destruction des nids.
Le petit coléoptère des ruches
Aethina tumida est un insecte qui infeste les colonies d’abeilles africaines. Ses larves consomment le miel, le pollen et le couvain. Ce qui aboutit à la destruction rapide des rayons de cire du nid. Les abeilles africaines sont capables de contenir ce ravageur. Mais lorsque l’infestation est trop importante, elles n’hésitent pas à essaimer pour fonder une nouvelle colonie. Par contre, les abeilles européennes sont vulnérables.
L’arrivée du petit coléoptère des ruches dans le sud de l’Italie et sa progression vers le nord inquiètent les apiculteurs français. D’autant plus que le réchauffement climatique semble jouer en faveur de ce nouveau ravageur.
Pour résumer
Le contact avec la réalité vient souvent refroidir les passions des néophytes et des débutants. Il est vrai qu’être apiculteur n’est pas simple et qu’on est loin de l’image d’une activité contemplative qui est véhiculée par de nombreux sites internet.
Pour réussir en apiculture, il convient de s’adapter aux abeilles. Il faut comprendre le fonctionnement d’une colonie et identifier ses besoins. Il faut choisir le bon emplacement pour ses ruches. Enfin, il faut constamment surveiller l’état de santé de ses colonies. Car laissée à elles-même vos abeilles risquent d’être rapidement décimées par les varroas et les frelons asiatiques.
Nous espérons que cet article vous aura conforté dans votre projet de devenir apiculteur amateur. Si c’est le cas et pour en faire partager à vos amis, merci de le relayer sur les réseaux sociaux. Nous vous remercions pour votre lecture et nous vous souhaitons une bonne continuation. À bientôt.